Chronologie

[vc_row no_margin= »true » padding_top= »0px » padding_bottom= »0px » border= »none »][vc_column width= »1/1″][gap size= »1em »][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7703″ style= »width:130px »][image type= »none » float= »right » info= »tooltip » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7705″ title= »Jean Marie Le Sidaner, Ile Maurice » style= »width:130px »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1862[/custom_headline][text_output]

Naissance, le 7 août, à Port-Louis (Ile-Maurice) d’Henri Eugène Augustin Le Sidaner (en breton : Le marchand de soie.) Comme ses ancêtres originaires de Saint-Malo et de L’Ile de Bréhat, son père, Jean-Marie Le Sidaner, est capitaine au long cours de la marine française. Il est venu à Maurice occuper le poste d’inspecteur de la branche française des Lloyd’s, et participe activement au développement de la petite ile. Sa mère, Amélie Robberechts, est aussi originaire de Saint-Malo.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7714″ style= »width:130px »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1872[/custom_headline][text_output]

Retour en France et installation à Dunkerque. Le père, asthmatique doit renoncer à naviguer et devient courtier maritime. Henri a un frère ainé qui s’en ira découvrir le monde, et quatre sœurs cadettes qui, sous l’influence de leur mère, pratiquent toutes la musique avec excellence. Henri a le don de l’amitié. Il étudie avec Eugène Chigot au collège Notre Dame des Dunes et suit les cours de l’Ecole communale de dessin pour lequel il montre un goût précoce, sous la direction d’Alexandre Desmidt.

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Henri part étudier la peinture à Paris, où il apprend la mort de son père dans un naufrage. Entre à l’atelier du peintre académique Alexandre Cabanel, où il se lie avec Jean Veber et retrouve Eugène Chigot. Passe le plus clair de son temps à faire des copies au Louvre et des études au jardin des Plantes.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7720″ style= »width:130px »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1882[/custom_headline][text_output]

Reçu à l’Ecole nationale des Beaux-arts. Troublé par la découverte de Manet au Salon. Ses œuvres de cette époque ont été perdues ou détruites. Premier séjour à Etaples (Pas-de-Calais) que lui a fait découvrir Eugène Chigot.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1883[/custom_headline][text_output]

Service militaire à Lille. Piètre militaire, Henri fait les portraits des sous-officiers et de leur famille.

[/text_output][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7721″ style= »width:130px »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1884[/custom_headline][text_output]

Reçoit une bourse de 1 200 francs de la municipalité de Dunkerque. Première ensemble que l’artiste n’ait pas détruit, peint pour décorer l’appartement dunkerquois de sa sœur Marie.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7723″ style= »width:130px »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1885[/custom_headline][text_output]

Déçu par l’enseignement académique, part s’installer à Etaples où il restera jusqu’en 1894. Amitié avec des peintres venus travailler dans la région et habiter comme lui à l’auberge Ioos : Eugène Vail, Paul Graf ou Carlos Lefebvre. Echec au concours Troyon. Offre à la ville de Dunkerque, L’Eglise Saint-Michel, Etaples (sans doute l’unique toile de cette période épargnée par l’artiste.)

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Après l’office, premier envoi au Salon des Artistes français qui, sous l’autorité de l’Ecole et de l’Institut, décerne médailles et bourses de voyages. Succès au concours Troyon. Rejoint à Etaples par Eugène Chigot.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7728″ style= »width:130px; »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1888[/custom_headline][text_output]

La Promenade des orphelines au Salon, vaste composition et première importante réussite (offerte au musée de Dunkerque.) Rencontre à Etaples, Henri Duhem qui deviendra son meilleur ami, son confident et quelque peu son mécène.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1889[/custom_headline][text_output]

Mort de Cabanel. Le vieux maître a toujours soutenu Le Sidaner. Echec au concours du Prix de Rome où il se lie d’amitié avec Ernest Laurent. Nouvel échec au concours Troyon. Perte de sa bourse dunkerquoise et début d’une longue suite de problèmes financiers.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7730″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1890[/custom_headline][text_output]

Scission au sein du Salon et création du Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts où la plupart des artistes novateurs suivent Puvis de Chavannes. Le Sidaner reste, pour le moment, fidèle au Salon des Artistes français.

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Malgré une grave épidémie de Choléra, Le Sidaner reste à Etaples pour peindre La Bénédiction de la mer, vaste composition qui lui permet d’obtenir au Salon une médaille de 3e classe et une bourse de voyage. L’œuvre est acquise par l’Etat. Amitié avec Henri Martin.

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Voyage d’étude en Hollande, à Katwijk aan See et Amsterdam. Puis, rejoint par Henri Duhem en Italie, à Florence où il admire les primitifs et copie la Vierge de l’Annonciation de Fra Angelico, et à Venise dont il délaisse les splendeurs, préférant peindre une charmante série d’études de la lagune. Chigot et Le Sidaner sont respectivement président et vice-président de la Société des amis des arts qui organise le premier Salon de peinture d’Etaples. Amitié avec Frits Thaulow.

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Au Salon : L’Hôtel des orphelines, dernière importante composition religieuse. Nombreuses études de crépuscules et de clairs de lune. Amitié avec Emile Claus.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7736″ style= »width:260px; »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1894[/custom_headline][text_output]

Quitte définitivement Etaples et s’installe à Paris, dans le XVIIe arrondissement où sa mère et ses sœurs, laissées sans fortune après la mort du père, donnent des cours de piano dans la haute société. Quitte le Salon des artistes français et rejoint le Salon de la Société nationale des Beaux-arts. Se lie avec Edmond Aman-Jean, Lucien Simon, Charles Cottet, René Menard.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1895[/custom_headline][text_output]

Les Vieilles (qu’il détruira en partie) lui permettent d’accéder au rang d’associé au Salon de la Nationale. Expose pour la première fois à la Société internationale chez Georges Petit. Début de sa période dite symboliste. Continue de détruire une grande partie de sa production. Installe son atelier à Paris, au 5, rue Emile Allez. Son voisin de palier est le musicien Gabriel Fabre, interprète des poètes symbolistes. Se lie avec les écrivains Camille Mauclair, Gabriel Mourey, Charles-Henry Hirsch et Roger Marx.

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Succès de La Ronde au clair de lune au Salon de La Ronde au clair de lune (repris en lithographie en 1899.) Série de Jeunes filles sur la calme rivière du Loing à Montreuil-Bellay. Conserve enfin la plupart de ses toiles. Illustre Poèmes du Midi d’Emanuel Ducros. Amitié avec Albert Baertsoen.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1897[/custom_headline][text_output]

Succès critique pour sa première exposition particulière à la galerie Mancini à Paris.

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Expose à la Libre esthétique à Bruxelles. Le Dimanche, sommet de sa période symboliste, présenté au Salon. Découverte décisive de Bruges où il s’installe avec sa compagne, Camille Navarre, née à Paris le 16 décembre 1877. Amitié avec Emile Verhaeren et Camille Lemonnier. Naissance de Louis à Etaples.

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Les toiles de Bruges lui permettent d’accéder au rang de sociétaire au Salon. Contrat d’exclusivité avec Georges Petit qui tient la première galerie de Paris. Envois à l’exposition internationale de Venise. Le Sidaner apprend dans le pays flamand à rendre la poésie des villes silencieuses. Grande activité créatrice, peint désormais jusqu’à une trentaine de toiles par an. A la demande de Monet, offre une œuvre à la vente en faveur des héritiers de Sisley qui vient de mourir.

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Retour en France et installation à Beauvais sur le conseil d’Auguste Rodin. Participe à la création de la Société nouvelle des peintres et sculpteurs, le groupe artistique le plus célèbre de la Belle Epoque, exposant chaque printemps chez Georges Petit sous la présidence de Gabriel Mourey. Médaille de bronze à l’Exposition universelle avec Le Dimanche. Le souci de composition architecturale s’affirme dans son œuvre. Disparition de la figure en dehors des portraits de ses proches. Amitié avec Auguste Delaherche.

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Installation à Gerberoy. Série de Beauvais et Gisors au Salon. Première participation au Salon des Pastellistes. Médaille d’or à Munich avec Winter, et Mention honorable à Pittsburgh pour Le Cabaret éclairé, Beauvais. Tout au long de sa vie, le peintre fera d’incessants voyages d’études (parfois près d’une dizaine par mois), ici et là, en France comme à l’étranger.

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Première série de Gerberoy au Salon : La Table, achetée par l’Etat. Premiers envois à la Goupil Gallery de Londres. Expose désormais dans les grandes manifestations internationales : Gand, Barcelone, Prague, Budapest, Saint Louis, Pittsburgh, Buffalo ou Venise. Habitude est prise de vacances familiales à Petit-Fort-Philippe, non loin de chez Eugène Chigot. Installation pour six mois à Chartres.

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Série de Chartres au Salon. Exposition particulière à Glasgow. Première installation à Versailles.

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Le 3 février, à la mairie du 17e à Paris, est célébré le mariage de Camille et Henri dont les témoins sont Félix Desruelles et Eugène Chigot. Seconde série gerboréenne au Salon : Le Dessert est acquis par l’Etat. Expose à Londres et visite des jardins de Kensington. Achète la maison de Gerberoy, dont il était locataire, et commence les transformations par l’atelier et le jardin blanc.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1905[/custom_headline][text_output]

Importante exposition particulière à la Goupil Gallery de Londres. Gabriel Mourey remplacé par Auguste Rodin à la présidence de la Société Nouvelle. Naissance de Rémi, deuxième fils de l’artiste. Habitude est prise d’emmener les enfants l’été au Tréport. Séjour hivernal à Venise avec Eugène Vail.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7746″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1906[/custom_headline][text_output]

Série de Venise, exposée à la Goupil Gallery et au Salon. Création à Gerberoy de la roseraie et de son pavillon d’été. Deuxième hiver à Venise avec Emile Claus. Chevalier de la légion d’honneur.

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Deuxième série de Venise à la Goupil Gallery et au Salon. Voyage à Prague avec Camille Mauclair à l’occasion d’une exposition particulière. Edification à Gerberoy de la tour d’amour et son jardin sauvage. Séjour à Hampton Court.

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Ensemble de Londres et d’Hampton Court à la Goupil Gallery et au Salon. La Terrasse, Gerberoy acquis par l’Etat. Médaille de seconde classe pour Le Grand canal à Pittsburgh. Séjour hivernal sur le lac Majeur. Sa sœur Marthe épouse Georges Rouault.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7749″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1909[/custom_headline][text_output]

Série du lac Majeur au Salon. Vues gerboréennes à la Goupil Gallery. Série des Fenêtres à la Société Nouvelle. Création de la Société des amis de Gerberoy dont Le Sidaner est le président d’honneur. Installation définitive à Versailles.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7751″ style= »width:130px; »][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7752″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1910[/custom_headline][text_output]

Nuits de Paris exposées à la Goupil Gallery et au Salon. Nuit de lune acquis par l’Etat. Premier voyage à Pittsburgh comme membre du jury, amitié avec Childe Hassam. Exposition particulière chez Georges Petit. Lente évolution vers une touche plus affirmée et une description plus franche des moments du quotidien. Premier séjour hivernal à Villefranche-sur-Mer.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7756″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1911[/custom_headline][text_output]

Vues de Villefranche au Salon. Exposition particulière à la galerie Knoedler, New-York. Le groupe de la Société nouvelle est présenté à Boston, Buffalo et Saint Louis. Achève à Gerberoy l’édification des terrasses à l’Italienne.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7755″ style= »width:130px; »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1912[/custom_headline][text_output]

Série de Versailles au Salon. La Cour d’honneur acquise par la Ville de Paris. Nouveau voyage à Pittsburgh pour participer au jury (obtient une médaille pour H. Martin.) Exposition particulière à la Kraushaar Galleries, New-York. Au retour, son bateau se porte sans succès au secours du Titanic.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1913[/custom_headline][text_output]

Série des Ciels exposée au Salon. Premier voyage d’étude en Bretagne. Le Sidaner est célébré par les Rosatis où il compte beaucoup d’amis : Paul Fort, Philéas Lebesgue, Germaine Acremant…

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1914[/custom_headline][text_output]

Vues de Bretagne au Salon. La Biennale de Venise lui consacre une salle. Officier de la légion d’honneur.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1915[/custom_headline][text_output]

Au cours de la Grande Guerre, cesse pratiquement de voyager et reprends de mémoire dans son atelier versaillais, d’anciens motifs, en particulier sa dernière série vénitienne. Décès de son ami et voisin versaillais le poète Stuart Merril. Sa veuve Claire Stuart Merril devient la meilleure amie de Camille.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7758″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1916[/custom_headline][text_output]

Série des Bassins versaillais tapissées de feuilles d’automne. Assiste à Rouen à l’enterrement d’Emile Verhaeren.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1917[/custom_headline][text_output]

Première importante série des Tables desservies dans le jardin et la cour de Gerberoy. Chaque année, jusqu’à la fin de sa vie, l’artiste peint désormais d’importants ensembles versaillais et gerboréens. Séjour à Barcelone pour l’exposition d’Art français. Exposition avec Rodin et Aman-Jean, chez Georges Petit.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1918[/custom_headline][text_output]

Vues de Gerberoy au Salon. Série de Moret-sur-Loing. Exposition particulière chez Georges Petit. Voyage d’étude à Quimperlé. Déjeune avec Claude Monet à Giverny.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7759″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1919[/custom_headline][text_output]

Séries de Quimperlé et de Nemours à la Société Nouvelle.

[/text_output][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7762″ style= »width:130px; »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1920[/custom_headline][text_output]

Exposition particulière à la Kraushaar Galleries, New-York.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7764″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1921[/custom_headline][text_output]

Salle Le Sidaner à l’exposition de Pittsburgh. Exposition particulière chez Georges Petit et à la Kraushaar Galleries.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1922[/custom_headline][text_output]

Voyages d’étude au Croisic et à Quimperlé. Le Sidaner plusieurs fois cité dans Sodome et Gomorrhe de Marcel Proust. Jusqu’en 1929, la galerie New-Yorkaise Knoedler rachète nombre de ses œuvres qu’elle diffuse aux Etats-Unis.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7765″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1923[/custom_headline][text_output]

Période d’intense création. L’artiste âgé de 61 ans, atteint la plénitude de son art. Quitte la Nationale et participe avec le groupe de la Société nouvelle à la création du Salon des Tuileries. Séries du Croisic et de Quimperlé exposées chez Georges Petit avec Henri Martin et Ernest Laurent. Automne à Villefranche-sur-Mer, où Le Sidaner retournera presque chaque année. Assiste aux obsèques d’Eugène Chigot à Valenciennes.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7766″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1924[/custom_headline][text_output]

Premier important ensemble de Villefranche exposé à Bruxelles avec H. Martin. Nommé officier de l’ordre de Léopold par le Roi des belges. Dernier envoi au Salon des Tuileries, puis renonce aux Salons.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1925[/custom_headline][text_output]

Premier prix à Pittsburgh pour La Fenêtre sur la baie de Villefranche. Exposition particulière chez Georges Petit La Maison, les heures et les saisons.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7767″ style= »width:130px; »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1926[/custom_headline][text_output]

Plus grande sobriété dans le choix des motifs. Achat par l’Etat du Soleil dans la maison, Villefranche. Assiste à Bruxelles, à l’inauguration du monument érigé en mémoire d’Emile Claus. Mariage de son fils ainé, Louis, avec Simone Vogt.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1927[/custom_headline][text_output]

Exposition particulière chez Georges Petit où l’artiste montre ses huit Harmonies.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7768″ style= »width:130px; »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1928[/custom_headline][text_output]

Publication de sa monographie par Camille Mauclair. Exposition particulière à Rouen. Série de Bormes les Mimosas. Décès de la mère de l’artiste.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1929[/custom_headline][text_output]

Nommé membre associé de l’Académie royale des Beaux-Arts de Belgique. Exposition particulière chez Georges Petit. Assiste à l’enterrement d’Ernest Laurent.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1930[/custom_headline][text_output]

Elu à l’Institut au siège d’Ernest Laurent. Partage une exposition avec H. Martin à Strasbourg. Peint au cours des années Trente une importante série de tables d’intérieur dans son appartement versaillais.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7770″ style= »width:130px; »][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7771″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1931[/custom_headline][text_output]

Faillite de la galerie Georges Petit : Le Sidaner n’a plus de marchant attitré. Siège une dernière fois à Pittsburgh où il obtient un prix pour Raoul Dufy. Importante rétrospective à Bruxelles honorée par la visite de la Reine des Belges. Partage une exposition avec Gaston Latouche et Ernest Laurent à Paris.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7772″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1932[/custom_headline][text_output]

Réception à l’Elysée. Consacrera désormais beaucoup de son temps à ses fonctions à l’Institut où, avec l’aide d’Henri Martin, il fait entrer Maurice Denis puis, les années suivantes, Georges Desvallières, J.E. Blanche, Félix Desruelles, ou les musiciens Paul Dukas, Henri Busser ou Florent Shmitt. Se lie avec Charles Widor et Adolphe Boschot.

[/text_output][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7774″ style= »width:130px; »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1934[/custom_headline][text_output]

Donne deux conférences sur Watteau et La Tour auprès des Rosatis. Exposition particulière à la galerie Charpentier. Amitié avec William Singer Jr.

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Donne en plusieurs occasions une conférence remarquée : De la lumière et de la couleur. Exposition particulière à Nantes. Discours pour l’anniversaire des Amis de Gerberoy.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7777″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1936[/custom_headline][text_output]

Prononce à l’Académie un discours sur L’Evolution de la sensibilité dans l’œuvre d’art. Expositions particulières chez Knoedler à Paris et chez Buffa à Amsterdam.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1937[/custom_headline][text_output]

Elu président de l’Institut où il fait entrer Edouard Vuillard. Exposition particulière à la galerie Buffa à New York. Portrait de son cousin l’auteur dramatique Albert Willemetz.

[/text_output][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1938[/custom_headline][text_output]

Le Touring Club attribue à Gerberoy le 1er prix du Village coquet.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »left » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7778″][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]1939[/custom_headline][text_output]

Grand succès pour sa dernière exposition particulière à la galerie Charpentier. Après un voyage à Bruxelles, en Blaricum en Hollande chez son ami William Singer, puis à Saint-Jean-Cap-Ferrat où son fils Louis et son épouse Simone se sont fait construire une maison, l’artiste rentre en clinique pour une petite opération et meurt à Paris d’un infarctus, le 16 juillet. Enterrement à Versailles : Discours de Georges Desvallières, Albert Acremant, Camille Mauclair, Georges Huisman et René Pinon.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »true » no_margin= »true » padding_top= »10px » padding_bottom= »10px » border= »none » bg_color= »#121212″][vc_column width= »1/1″][image type= »none » float= »right » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » src= »7779″ style= »width:260px; »][custom_headline type= »left » level= »h4″ looks_like= »h5″ class= »mtn »]Après-guerre[/custom_headline][text_output]

Succès pour l’importante rétrospective au musée Galliéra en 1948, mais échec de la rétrospective de Bruxelles en 1951. L’artiste est oublié du public et des historiens, mais garde l’estime des collectionneurs anglo-saxons. Les galeries Lorenceau à Paris, Roland, Browse and Delbanco à Londres et Maurice Sternberg à Chicago lui consacrent tours à tours plusieurs expositions. Peu à peu sa cote remonte pour atteindre des sommets à partir des années 80. Plus d’une centaine de musées à travers le monde possèdent de ses œuvres. Il existe des rues Henri Le Sidaner à Créteil, Dunkerque, Etaples, Gerberoy, Montpellier, Port Louis (Ile Maurice), Quimperlé et Versailles.

[/text_output][/vc_column][/vc_row][vc_row no_margin= »true » padding_top= »0px » padding_bottom= »0px » border= »none »][vc_column width= »1/1″][gap size= »1em »][/vc_column][/vc_row]