Huile sur toile. 44 x 62 cm. Collection particulière « Je serai en mesure de vous guider consciencieusement et vous promet une promenade dans le pays des merveilles. Vous sentirez une fois ici combien il est profitable de se nourrir de chefs-d’œuvre. Nous irons après Florence, à Venise si vous voulez. » Lettre de Le Sidaner à...
Huile sur toile. 59 x 81 cm. Collection particulière « C’est si beau Chartres, que je regrette de n’être pas plus définitivement installé mais je m’y déciderai peut-être. » Lettre de Le Sidaner à Gabriel Mourey
Huile sur toile. 65 x 81 cm. Collection particulière « Quand il y a quelques semaines, vous fûtes promu officier de la légion d’honneur, j’ai applaudis et je devais vous écrire combien je trouvais cette distinction méritée. C’est que vos tableaux sont de ceux que j’aime : C’est que vous avez fait des effets que je ne...
Huile sur toile. 81 x 100 cm. Collection particulière « Sous son pinceau, le quai Courbet est devenu un poème whistlérien baigné d’une lueur mystérieuse, des blancheurs ineffables où tout s’immatérialise, où des barques flottent dans le rêve, où la pierre, l’eau, tout en gardant leurs valeurs, semblent n’avoir pas plus de densité que l’air lui-même. »...
Huile sur toile. 65,5 x 81 cm. Collection particulière « A cette table, Chardin, Corot salueraient le petit-fils de leur douceur. » Jules Rais, 1902
Huile sur toile. 70 x 94 cm. Museum of Fine Art, Boston « Nous espérons profiter de ton séjour forcé à Paris pour te voir à Versailles, 30 mn train sans arrêt. Nous ferons une charmante promenade dans les coins du Parc. » Lettre de Le Sidaner à Henri Duhem
Huile sur panneau. 26 x 36 cm. Musée Marmottan-Monet, Paris « Je quitte définitivement Beauvais lundi matin et suis tout à fait perdu dans les derniers préparatifs de l’installation pourtant très sommaire de Gerberoy. Où j’espère vous voir. » Lettre de Le Sidaner à Gabriel Mourey
Huile sur toile. 46 x 61 cm. Collection particulière « J’ai besoin d’air, je me sauve peindre dans les champs où je vais retrouver mes sabots et peut-être accoucher d’une toile. On verra. » Lettre de Le Sidaner à Léon Morel
Huile sur toile. 50 x 78,5 cm. Musée des beaux-Arts, Dunkerque « Le Sidaner aime l’apaisement, la religiosité, la belle ordonnance des choses nocturnes, et les arbres qui pleurent dans l’ombre et les lointaines futaies qui s’enfoncent en droites colonnades dans la nuit sont comme des avenues du temple du silence. » Paul Riff, 1896
