Les toiles de Bruges lui permettent d’accéder au rang de sociétaire au Salon. Contrat d’exclusivité avec Georges Petit qui tient la première galerie de Paris. Envois à l’exposition internationale de Venise. Le Sidaner apprend dans le pays flamand à rendre la poésie des villes silencieuses. Grande activité créatrice, peint désormais jusqu’à une trentaine de toiles par an. A la demande de Monet, offre une œuvre à la vente en faveur des héritiers de Sisley qui vient de mourir.
![1899.-Louis-Ö-Bruges-e1418847386204 15586](https://henri.lesidaner.com/wp-content/uploads/2018/11/1899.-Louis-Ö-Bruges-e1418847386204.jpg)