Huile sur toile. 92 x 73 cm.
Musée des beaux-Arts de Liège
« La guerre avait causé la rareté des jardiniers, et laissé à la nature une liberté au milieu du décor que les nécessités de son ordonnance corrigent quelquefois à l’excès. Les feuilles formaient des tapis épais et lourds, qui entouraient la beauté des architectures, encerclaient l’eau des bassins et vivaient dans l’assourdissement fauve de leur richesse… Ce magique spectacle de l’automne en ce lieu de prédilection. »
Henri Le Sidaner
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